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Tonnerre - regard croisé
Tonnerre - regard croisé

Regard croisé sur la ville de Tonnerre

Un rendez-vous pour partager Tonnerre

Pour vous parler du territoire et des talents locaux, nous sommes toujours à la recherche d’exactitude dans le texte ou dans la photo. C’est pourquoi nous vous proposons de visiter Tonnerre avec deux regards différents. Comme vous le savez, nous sommes saisis par les photos de Seb Guyomard alors nous lui avons donné rendez-vous pour marcher d’un même pas dans les rues en commençant par l’œil bleu-vert de la cité.

La Fosse Dionne

Certes, nous avons déjà photographiée cette fosse aux couleurs d’une profondeur insondée. Avec nous, vous avez été nombreux à redécouvrir les Mystères et légendes qui lui sont associés ! Mais, elle est vivante. Elle s’imprègne du ciel pour choisir sa robe en nous avalant dans une envie frénétique de la photographier.

Alors, on est heureux de s’adonner à quelques acrobaties pour vous la proposer sous des angles nouveaux.

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Touristique ou historique !

Quand on vous propose une photo, on aime vous retranscrire ce que l’on a vu. Bonne ou mauvaise, la lumière nous a procuré une émotion que l’on tente de partager. Seb Guyomard nous propose un autre regard. Sur ses trois photos ci-dessous, chaque pierre, chaque pan de bois affiche son âge, son vécu. La ville de Tonnerre est forte de cette âme construite au fil du temps.

Alors que l’on aurait tendance à chercher la couleur et les contrastes, notre ami photographe nous présente une vieille dame. La rencontrer, c’est faire silence en soi pour essayer de comprendre ce qu’elle a vécu et ce qu’elle nous dit de son Histoire.

Le Chemin des Roches

Nous contournons la fosse Dionne dans le sens inverse des aiguilles d’une montre. On s’égare dans un petit chemin qui nous offre la vue sur les toits et se perd dans les bois à la faveur d’une forte montée. On arrive alors au pied de l’église Saint-Pierre de Tonnerre. Magnifique, elle surplombe la cité et nous offre un panorama unique.

2022 02 20 - Tonnerre en hiver-02
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Un seul cliché de Seb Guyomard

Alors que l’on prend de la hauteur, on découvre de multiples toits éventrés, quelques bâches de fortune et des pans de murs qui cisèlent les jardins. Du coin de l’œil, on regarde Seb qui reste focalisé sur l’église Saint-Pierre pour nous livrer le cliché ci-dessous. L’Histoire de Tonnerre n’aurait-elle de sens qu’au travers des monuments qui lui survive ?

Ce vieux Tonnerre, témoin d’un autre temps

On descend la colline entre les marches et la végétation pour retrouver la Fosse Dionne. on s’engage dans la rue Jean Garnier avant d’arriver sur la place Daret que nous avions déjà évoquée dans un article précédent. On emprunte la rue Armand Collin pour reprendre contact avec l’église Saint Pierre. Revenant sur nos pas, nous finissons la descente par la rue Saint Pierre en direction de l’église Notre Dame en centre-ville.

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Avez-vous déjà lâché un lion dans une boucherie ?

Certes, Seb Guyomard ne connaît pas l’Histoire de Tonnerre mais il est en prise totale avec ce cœur de bourg d’un autre temps. L’animal ne parvient pas à se détacher des façades anciennes qu’il retrouve rue du Général Campenon. Son appareil s’accroche sur les magasins anciens. Alors même s’il se réjouit de savoir que ce quartier est promis à un avenir nouveau, il en fige l’histoire passée. En regardant les clichés de Seb Guyomard ci dessous, nous en venons presque à regretter que la ville soit entre les mains d’une équipe dynamique qui se propose de projeter la cité dans un XXIème siècle plein de promesses.

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De l’église Notre Dame à l’Hôtel Dieu

Les rues Saint-Pierre, Jean Garnier et la place Daret ont vu leurs commerces progressivement disparaître pour se concentrer de plus en plus sur la rue de l’Hôpital. Mais le supermarché Tailfer est devenu Auchan et le Leclerc s’est agrandi permettant l’implantation d’un Aldi. Progressivement une partie des commerçants a déserté le centre-ville s’installant dans les deux galeries marchandes rattachées aux grandes surfaces commerciales. En partenariat avec la Belle Armançon, la nouvelle municipalité relance la vie en centre-ville. Assurément, à l’instar de Joigny, Tonnerre prend le chemin de Saint-Florentin et Laroche-Migennes. En attendant d’assister à l’avènement de ces villes moyennes, on vous invite à nous suivre.

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De l’église Notre Dame, nous prenons la rue de l’Hôpital. Sur notre droite, le long de l’Hôtel Dieu, nous empruntons la rue du Prieuré, passons à l’arrière de l’hôpital. Nous traversons les jardins Marguerite de Bourgogne avant de reprendre la rue du pont. Nous saluons Monsieur Hardy et passons devant le Centre des Finances publiques. Le musée du Chevalier D’Eon est fermé … Il nous faudra donc revenir pour le visiter.

Après avoir franchi deux bras de l’Armançon nous n’allons pas jusqu’au port de Plaisance où nous nous serions volontiers arrêtés à l’Atelier Terre. Nous prenons tout de suite sur la gauche dès le deuxième bras de la rivière pour rejoindre le chemin de Chiencotte avant d’arriver sur l’Avenue Alfred Grévin en direction de la rue Saint-Nicolas. Enfin, la Rue du Général Campenon. Un léger crochet par la rue des Tanneries avant le retour à la Fosse Dionne qui a mis ses habits du soir. Le podomètre nous crédite alors de 10 000 pas et l’appareil photos contient quelques jolies promesses de partage.

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En nous éloignant du centre-ville, l’appareil photos de Seb reste muet. Notre ami se retourne une dernière fois pour attraper l’église Saint-Pierre depuis la place Sainte Marguerite. Rue Campenon, un cliché présenté plus haut et enfin, face aux tanneries, Seb Guyomard clôture la séance avec une photo inattendue. Connaissez-vous ce drôle de jardin ? Et sauriez-vous nous dire dans quelle ruelle il se situe ?